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Les chevaux à adopter ont différent statuts. Il s’agit parfois de chevaux rachetés par l’association, de chevaux donnés à l’association ou bien de chevaux dont les propriétaires ne peuvent plus s’occuper mais avec lesquels ils veulent tout de même garder le contact.

 

Parfois, il s’agit aussi de chevaux en difficultés qui sont directement rachetés par l’adoptant. Dans tous les cas, les chevaux sont par l’intermédiaire de l’association pucés et enregistrés aux registres des Haras Nationaux afin de recevoir un numéro SIRE.

 

Dans le cas de chevaux rachetés par l’adoptant, il est clair qu’il en devient le plein propriétaire. Dans les autres cas, l’association conserve 15% des titres de propriété, gardant ainsi un droit de visite sur l’animal et assurant qu’aucune vente ultérieure ne peut avoir lieu sans que l’association soit mise au courant.

 

Les chevaux à adopter sont placés dans les meilleures conditions possibles par rapport à leur besoins particuliers. Certains chevaux peuvent encore être montés, d’autres demandent des soins. Il y a en fait autant de possibilités qu’il y a de chevaux et nous nous efforçons de trouver l’adoptant qui offre les meilleures conditions pour un cheval donné.

Par exemple, un cheval victime d’emphysème doit être placé chez un adoptant pouvant lui offrir un abri en plein air et des prés, un environnement sans poussières. Un ancien cheval de club ne souffrant pas d’affections particulières pourra être placé chez un adoptant offrant un box et de la nourriture classique….

 

Devant la multiplicité des cas, il n’y a pas de règles générales d’adoption si ce n’est que nous demandons aux adoptants de nourrir le cheval correctement (à définir selon le cheval), avec les apports en sel et en minéraux correspondant à son alimentation. De parer ou ferrer le cheval au minimum tous les trois mois et de le vermifuger au moins deux fois dans l’année et de ne pas l’utiliser pour la reproduction.

 

Nous nous octroyons un droit de visite de l’animal aussi souvent que nécessaire. Et surtout, nous ne nous voyons pas comme un organe de contrôle et de répression mais comme un point de contact où l’on peut trouver de l’aide face aux difficultés, la possibilité de discuter de ces problèmes avec la chance de trouver quelqu’un qui a eu la même expérience et qui peut être de bon conseil.

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